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Au Spiritain Riant

Sacrement de réconciliation, pourquoi se confesser ?

29 Juin 2018 , Rédigé par Tristan Publié dans #Foire aux questions

Ceci est un article de fond qui essaie de traiter la question dans son ensemble. Prenez-le temps de le lire jusqu’au bout.

Pourquoi se confesser ? A quoi ça sert ? On ne parle pas souvent de la confession et cela reste souvent quelque chose d'un peu effrayant. Nous avons aussi beaucoup de fausses idées à son sujet. Cet article est fait pour vous.
Je vous propose de voir d’abord l’origine de ce sacrement. Ensuite vous comprendrez ce qu’il n’est pas, puis ce qu’il est. Enfin dans une dernière partie, vous pourrez lire quelques réponses à des questions courantes.

Un peu d’histoire

La « confession » a évolué au cours des âges. On peut dire qu’il y a eu 4 phases.

  • Première phase.

D’abord, à la naissance de l’Église, il n’y avait que deux sacrements : le baptême et l’eucharistie. Ainsi, il n’y avait pas de sacrement de réconciliation en tant que tel au premier siècle. C’est pourquoi, le baptême était considéré comme offrant le pardon des péchés. On le recevait à l’âge adulte.

Néanmoins cela n’empêchait pas le baptisé de commettre des péchés après le baptême. Alors l’Église, en vertu du principe évangélique (Matthieu 18,18), autorisa une cérémonie publique de réconciliation. Le chrétien ne pouvait recourir à ce rituel qu’une seule fois dans la vie. Et les peines données par l’évêque étaient extrêmement sévères. Les chrétiens ont donc peu à peu désertés ce sacrement car jugé trop difficile. Certains attendaient d’être au seuil de la mort pour demander le pardon. Cette pratique devenue inadaptée, était à bout de souffle. C’est pourquoi elle prit fin au VIe siècle.

  • Deuxième phase.

C’est donc début du VIIe siècle, au moyen-âge, que l’Église va proposer la "pénitence tarifée". C’est à l’initiative de saint Patrick et saint Colomban, deux moines irlandais, que selon la gravité du péché, la pénitence va être adaptée.

  • Troisième phrase.

À partir du XIIIe siècle, la célébration de la confession devient privée et renouvelable. C’est au concile du Latran IV en 1215 que l’Église fixe les règles pour la confession. Les fidèles sont invités à se confesser et au moins une fois par an.

  • Quatrième phase.

En 1973, le Concile Vatican II apporte de nouvelles évolutions au sacrement. Ainsi, il est proposé trois formes de célébration : la célébration à deux, le prêtre et le pénitent (A) ; la célébration collective avec aveu individuel et absolution individuelle (B) ; la célébration collective avec confession et absolution collectives (C). La forme C est présentée comme une sorte de concession : elle doit être "extraordinaire" et les fautes "graves" devront être confessées individuellement. Cette troisième forme doit être réservée à des cas exceptionnels (impossibilité de réunir un nombre suffisant de prêtres pour entendre les confessions individuelles, dans un pèlerinage par exemple).


Ce que n’est pas le sacrement de réconciliation

Nous avons tous des idées plus ou moins bonnes sur ce sacrement. Il est temps de démêler le vrai du faux.

  • Contrairement à ce que l’on croit souvent, le sacrement de réconciliation ce n’est pas simplement se confesser, dire ses péchés. J’expliquerai cela un peu plus loin.
  • Le sacrement de réconciliation, ce n’est pas non plus le tribunal où l’on vient recevoir une sentence.
  • Enfin le sacrement de réconciliation, ce n’est pas oublier ce qui s’est passé, mais se réconcilier avec soi, avec les autres et avec Dieu.

La réconciliation, un signe qui en dit long.

Le sacrement de réconciliation porte différents noms, et chacun apportent un sens complémentaire :

-  Sacrement de conversion, car c’est à travers ce sacrement que l’on entre dans une démarche de conversion (Mc 1, 15 et Lc 15, 11-32) ;
-  Sacrement de pénitence, parce que lors du sacrement le prêtre nous donne une pénitence ;
-  Sacrement de la confession, parce que nous sommes invités à avouer nos péchés ;
-  Sacrement du pardon, parce que par l’absolution du prêtre, le pénitent s’ouvre au pardon et à la paix de Dieu ;
-  Sacrement de la réconciliation, car par lui nous sommes réconcilier en Dieu et avec Dieu (2 Co 5, 20).


Prenons un peu de temps pour expliciter ces différentes significations.
Le sacrement de réconciliation commence bien avant de se retrouver devant le prêtre. En effet, il s’agit d’abord d’avoir un « très grand regret ». J’ai conscience que j’ai fait ce qui est mal aux yeux du Seigneur (voir le Psaume 50). Cette étape de la contrition, c’est-à-dire le fait que l’on regrette sincèrement ses péchés, est essentielle. Il ne s’agit pas de remords. C’est bien plus que cela. C’est le regret d’avoir bafoué l’amour de Dieu ; de ce regret, surgit alors le désir de réparer la relation blessée. C’est à ce moment que peut intervenir la confession devant un prêtre.

La confession des péchés est un acte religieux dans lequel la personne reconnaît son péché. On parle de l’aveu des fautes. Le pénitent s’accuse donc de telle ou telle chose parce que pour pouvoir être pardonné, il faut d’abord reconnaître sa faute, la nommer. La verbalisation permet ainsi une certaine objectivité et aide à se regarder en vérité. Il ne suffit donc pas de se reconnaître pécheur, il nous faut encore reconnaître notre péché, chacun de nos péchés. Et si les péchés que nous commettons nous éloignent de Dieu, leurs confessions nous en rapprochent. Mais attention. Souvent on pense que l’aveu des péchés est central. En réalité, ce qui est central dans ce sacrement, c’est la confession de foi. En effet, le pénitent comme le prêtre, reconnaissent d’abord l’amour de Dieu. Ils confessent, ils disent, ils proclament la sainteté de Dieu et son infinie miséricorde envers l’homme pécheur. Ils confessent tous les deux que l’amour est plus grand que le péché. « Devant lui nous apaiserons notre cœur, si notre cœur venait à nous condamner, car Dieu est plus grand que notre cœur, et il connaît tout » (1 Jn 3,19-20). C’est donc la foi en Dieu qui permet ensuite de prendre conscience que nous sommes pécheurs. Se confesser est alors un grand acte de foi : « Voyant leur foi, Jésus dit au paralysé : "Mon fils, tes péchés sont pardonnés" » (Mc2, 5). Dieu ne nous demande pas d’être parfaits mais il nous invite à un véritable effort pour continuer à croire en son amour et sa capacité à nous pardonner.

L’aveu des fautes est donc un premier pas comme on l’a vu, mais cela reste insuffisant. Le pécheur doit encore faire quelque chose pour réparer ses péchés. C’est ce qu’on appelle « satisfaction » ou « pénitence ». La pénitence est imposée par le confesseur (le prêtre qui confesse) et doit tenir compte de la situation personnelle du pénitent. Cette pénitence vise à la réparation de la faute commise. Il ne s’agit pas bien évidemment de payer le pardon mais de réparer les effets du péché et de stimuler le chrétien pour qu’il mène une vie chrétienne renouvelée. La réparation peut être d’abord matérielle, car le vrai repentir nécessite, dans la mesure du possible de faire cesser ou de réparer les dommages ou les scandales causés par le péché. Mais la réparation se passe aussi dans le cœur du pénitent : il s’agit de changer les mauvaises habitudes. Cette pénitence et cette réparation sont donc le signe de la « conversion » à laquelle le Christ nous a tous appelés : « Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle » (Mc 1, 15). C’est donc la démarche de revenir au Père dont on s’est éloigné par le péché. (voir Catéchisme de l’Église Catholique au numéro 1423)

À la fin de la rencontre, le prêtre imposera la main sur le pénitent et dira « Que Dieu notre Père vous montre sa miséricorde ! Par la mort et la Résurrection de son Fils, il a réconcilié le monde avec lui et il a envoyé l’Esprit Saint pour la rémission des péchés ; par le ministère de l’Église, qu’il vous donne le pardon et la paix ! Et moi, au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, je vous pardonne tous vos péchés. »

Ce simple geste a une portée immense. Il est d’abord libérateur. En effet, bien souvent, il est difficile de se pardonner soi-même car nous jugeons notre péché en fonction d’une loi ou même peut être en fonction de notre idéal de justice. Le problème c’est que la loi condamne et dénonce le péché, mais elle ne peut le pardonner. De fait, nous restons enfermés dans notre péché. C’est pourquoi, dans le sacrement de réconciliation, se mettre face à l’amour de Dieu, nous libère de notre péché. Mais au-delà d’une libération psychologique, le sacrement nous donne la certitude que le pardon est donné et qu’il nous rétablit dans la relation de fils. Ainsi, s’en remettre à la miséricorde de Dieu, c’est permettre à l’autre de continuer à nous regarder avec amour. Alors réellement, nous pouvons repartir dans la paix et la joie pour mener une vie nouvelle. Dieu ne refuse jamais son pardon à celui qui vient le lui demander sincèrement, même après maintes chutes et rechutes. L’amour est sans cesse proposé car la miséricorde de Dieu est abondante. Mais il respecte notre liberté. Nous pouvons dire, en un certain sens, que Dieu nous a déjà pardonné. Mais pour que ce pardon soit effectif, il faut que nous y consentions.
Dieu pardonne, mais il y fait plus que cela : il change le cœur, il restaure la liberté chrétienne, il rétablit l’amitié avec lui, il renouvelle l’amour filial ; il donne la chance de partager à nouveau sa vie. Bref, il permet ce chemin qui nous réconcilie avec lui. Par conséquent, avec la réconciliation, nous participons à la joie de Dieu car « c’est ainsi qu’il y aura de la joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se convertit plus que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui n’ont pas besoin de conversion. » (Luc 15,7).

En conclusion, s’il y a une chose que vous devez retenir de cet article, c’est ceci : Ce qui est au cœur du sacrement de réconciliation, ce n’est pas notre péché, c’est l’amour de Dieu.


Questions – réponses

Vous vous posez sans doute encore beaucoup de questions, voilà peut-être des réponses qui pourraient vous rassurer.

  • Pourquoi se confesser à un prêtre et ne pas parler à Dieu directement ?
Réponse:

Dans toutes religions il y a des intermédiaires : prophètes, sorciers, chamans, médiums, devins, magiciens. Avec les évangiles, les intermédiaires sont supprimés au profit de Jésus-Christ. C’est ce que dit saint Paul dans sa première lettre à Timothée « En effet, il n’y a qu’un seul Dieu ; il n’y a aussi qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes : un homme, le Christ Jésus. » (I Tim 2,5) Autrement dit, pour un chrétien, c’est une vue de l’esprit que de vouloir aller vers Dieu tout seul, sans médiateur. Ce n’est pas une attitude chrétienne que de chercher Dieu sans passer par un tiers. Nous ne pouvons pas nous sauver nous-mêmes. C’est pourquoi l’apôtre Philippe dit à Jésus « Nous ne savons pas le chemin », « montre-nous le Père ».
Mais alors, si Jésus-Christ est l’unique médiateur, pourquoi passer par le prêtre ? D’abord il faut se rappeler que c’est Jésus lui-même qui a donné à ses apôtres le pouvoir et la mission de pardonner les péchés : « Ceux à qui vous remettrez les péchés, ils leur seront remis ; ceux à qui vous les retiendrez, ils leur seront retenus. » (Jean 20, 22-23). Le prêtre ne prend pas non plus la place de l’unique Médiateur : il tient sa place, ce qui est très différent.
Ensuite demander pardon devant un prêtre à plusieurs avantages :

-    Cela évite d’abord que je me pardonne moi-même, que je justifie mes actes ou mes pensées. Je me confronte à la parole d’un autre. Qu’est-ce que cela veut dire ? Tout simplement que le prêtre a une objectivité qui me permet de me confronter à la réalité de mon péché.
-    Le prêtre m’aide à comprendre là où est mon péché. Quelques fois je peux me tromper. Je peux penser que telle chose est un péché et pourtant cela n’en est pas un tandis qu’un geste que je suppose anodin, est en réalité un vrai manque d’amour. Le prêtre me permet donc de faire la lumière sur ma vie.
-    Le prêtre a un rôle de présence, d’écoute, d’accompagnement. Une confession est un dialogue, et non un monologue. Le prêtre m’ouvre donc des pistes pour me convertir. Il me donne des conseils, il m’encourage à aller de l’avant.
-    L’être humain a besoin de signe tangible. Quand on se confesse dans le secret de notre cœur nous ne sommes jamais sûrs d’être pardonnés. En revanche quand on va voir un prêtre, il nous dit « je vous pardonne tous vos péchés » et il nous bénit par un signe de croix. Nous avons alors la certitude intérieure d’être vraiment pardonné.

La médiation du prêtre est donc essentielle et rien ne pourra jamais la remplacer. Pour conclure cette question, on peut dire que c’est au Père, au Fils et à l’Esprit que nous demandons le pardon. Et c’est le Dieu de miséricorde qui nous pardonne par Jésus Christ, le seul sauveur. Mais ce sont les ministres de l’Église qui sont envoyés en "ambassadeurs de la réconciliation", selon le mot de saint Paul (2 Corinthiens 5,20).

  • J’ai honte de mon péché, est-ce que le prêtre va me juger ?
Réponse:

Dans les années 1945, le dominicain Bernard-Marie Chevignard disait à des jeunes religieux « Messieurs, si vous ne vous vous rendez pas compte que, les circonstances aidant, vous auriez pu être tortionnaires dans un camp nazi, qu’est-ce que vous faites ici chez les dominicains ? Quand vous ne vous rendez pas compte que vous êtes profondément pécheurs, vous ne pourrez pas prêcher la miséricorde. »

Le prêtre connait ses faiblesses et sait qu’il est un homme pécheur comme tous les êtres humains. Il est donc mal placé pour vous juger ou vous mépriser. C’est vrai qu’il peut être choqué par ce que le pénitent lui avoue, cependant il s’interdit toute condamnation.
Il faut comprendre dans quelle disposition est le prêtre quand il accueille le pécheur. En réalité, il reçoit la personne au nom du Christ. Autrement dit, c’est avec le même amour qu’il s’efforce de regarder celui qui vient rencontrer le Christ à travers lui. Si Jésus-Christ n’a jamais jugé personne (Jn 12,47), le prêtre lui non plus s’abstient de juger. Comme Jésus avec la prostituée, le prêtre ne juge pas le pécheur, mais il juge le péché afin que la personne change sa vie et reçoive la miséricorde de Dieu.

  • Pourquoi se confesser si on recommence après à commettre les mêmes péchés ?
Réponse:

On peut répondre à cette question en prenant une comparaison : pourquoi se laver chaque jour puisqu’on se salit ?
Plus sérieusement. Le fait de toujours commettre les mêmes péchés peut nous décourager et nous faire croire que le recours au sacrement de réconciliation est inutile. Pourtant ce n’est pas le cas. Voilà pourquoi.
D’abord il faut comprendre que le sacrement de réconciliation n’a pas pour but de nous améliorer, de faire de nous de meilleurs chrétiens. L’objectif est de se convertir, c’est-à-dire littéralement de « se tourner vers » Dieu. En effet, ce sacrement est aussi un sacrement de conversion. Autrement dit, dans le sacrement de réconciliation nous arrêtons de nous regarder le nombril et nous regardons Celui qui nous aime. Par conséquent, ce signe d’amour nous invite à nous décentrer. Il nous tourne d’abord vers Dieu car Dieu est plus important que nos fautes. Ce qui est essentiel dans ce sacrement ce n’est donc pas notre péché mais le pardon reçu de Dieu. C’est Dieu qui est au centre car Il nous accompagne et nous fortifie dans notre lutte contre le péché. Renoncer au sacrement de réconciliation c’est du même coup renoncer à se convertir et à retourner vers Celui qui donne la vie.
Ensuite, croire que c’est toujours la même chose parce que je dis toujours les mêmes péchés, c’est encore une manière d’être centrer sur soi. La nouveauté, ce n’est pas mon nouveau péché mais c’est l’homme que je deviens à chaque fois que je reçois ce don de Dieu. Dieu me renouvelle dans le sacrement. Cela donne l’occasion à Dieu d’opérer son œuvre extraordinaire de renouvellement : renouvellement de mon cœur, renouvellement de l’humanité.
Enfin dernier argument. Il y a toujours le risque de se focaliser sur le même « gros » péché qui nous tourmente et d’en oublier les autres. Il est donc intéressant qu’à chaque nouvelle confession, je fasse un véritable examen de conscience et que j’examine là où je blesse ma relation aux autres et à Dieu. Le prêtre est justement présent pour aider à regarder là où l’on ne regarde pas forcément. Un péché peut en cacher un autre.

N’oublions pas que ce sacrement peut être reçu autant fois que l’on en a besoin. En effet c’est Jésus lui-même qui dit à Pierre « Je ne te dis pas jusqu’à sept fois, mais jusqu’à soixante-dix fois sept fois. » Cependant, il est bon de se rappeler que le pardon doit être demandé à chaque fois avec un vrai repentir, un vrai désir de ne plus recommencer et la ferme décision d’en prendre les moyens.

  • Ce que je dis est-il vraiment secret ? Le prêtre ne va-t-il pas me dénoncer ?
Réponse:

Ce qui est dit en confession ne peut en aucun cas et sous aucun prétexte être répété ou utilisé. Le prêtre ne peut donc s’en servir, ni en faveur, ni au détriment du pénitent.
Le secret de la confession est le seul à être absolu, selon le code de droit canonique (canon 983). Ce droit ne souffre pas d’exceptions, sous peine d’excommunication pour celui qui l’enfreint.  (Code de Droit Canon n°1388,1). Sur le plan légal, le secret de la confession est garanti par le secret professionnel. La loi française, dans sa jurisprudence, a admis dès 1891 qu’elle était couverte par le secret professionnel. Il est par ailleurs garanti par la Cour de cassation qui reconnaît que les ministres du culte,- qu’ils appartiennent d’ailleurs à la religion catholique ou à la religion réformée-, sont tenus de garder le secret sur les révélations qui leurs sont faites dans le cadre de l’exercice de leur ministère sacerdotal ou en raison de ce ministère (Cass. crim., 11 mai 1959, Gaz. Pal. 1959.2.79).

  • Une confession dure combien de temps ?
Réponse:

Cela dépend.
Quand la confession se fait dans le cadre d’une célébration communautaire avant Noël ou Pâques, il y a un temps de préparation : des chants, une lecture de la Parole de Dieu, un petit mot du prêtre, et puis des prêtres se répartissent dans l’assemblée, et le temps de confession est alors assez court, cinq à dix minutes, parce qu’il y a du monde.
Si vous avez besoin de plus de temps vous pouvez toujours prendre rendez-vous avec un prêtre afin de vous confesser. La longueur de la confession durera alors en fonction du temps dont vous avez besoin.

 

Si vous avez encore des questions sur ce sujet vous pouvez me les poser en utilisant le formulaire de contact. Il vous suffit pour cela de cliquer en haut sur CONTACT et de remplir le formulaire.

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